Q : Qu’en est-il de la pratique consistant à couper la main du voleur dans le Qur’an ?
R : La pratique consistant à couper la main du voleur, telle que décrétée par les faux musulmans, est une pratique satanique qui n’a aucun fondement dans le Qur’an. En raison de l’importance de cette pratique, Dieu a Fourni une preuve mathématique à l’appui du marquage de la main du voleur, et non de sa coupure. Le verset 12 :31 fait référence aux femmes qui admiraient Joseph au point de se couper les mains. Il est évident qu’elles ne se sont pas tranchées les mains. Aucune personne normale ne pourrait faire cela.
La somme des numéros de la sourate et du verset est la même pour :
les versets 5 :38 et 12 :31, soit = 43.
5 :38 “Et le voleur, homme ou femme, coupez ses mains, châtiment mérité, à titre d’exemple de la part de All’h, et All’h Est Puissant et Sage.”
12 :31 “Lorsqu’elle entendit leurs propos malveillants, elle les fit venir et leur prépara un festin, puis elle donna à chacune d’elles un couteau et dit à Joseph : “Sors devant elles.” Lorsqu’elles le virent, elles s’extasièrent, et (dans leur stupéfaction/stupeur), elles se coupèrent les mains en disant : “Que All’h nous Préserve, ce n’est pas un (homme) mortel. Ce n’est autre qu’un ange noble”.
C’est la Volonté et la Miséricorde de Dieu que cette correspondance mathématique soit conforme au code du Qur’an basé sur 19. Dix-neuf versets après 12 :31, nous voyons le même mot (12 :50). Il convient de rappeler certaines particularités du Qur’an. Reportez-vous à FurQan pour plus de détails. L’un des aspects les plus importants des déclarations Qur’aniques à prendre en considération, qui indique le moment et la condition d’un Commandement, est la façon dont on s’adresse aux gens, c’est-à-dire :
“Ô vous les croyants. … Ô vous les mécréants.”
Une telle déclaration au début d’un verset s’adresse à des gens du temps présent, qui doivent donc suivre la loi et la juridiction du pays où ils résident.
“Ô vous qui avez cru… n’avez pas cru”
Le présent et le passé – une telle déclaration concerne les gens du présent et du passé, donc chacun serait, et était, sous la juridiction de son propre temps et de son propre lieu de résidence.
Il s’agit d’une règle générale dans le Qur’an : tout Commandement commençant par les énoncés ci-dessus place les personnes concernées sous la loi et la jurisprudence de leur époque et de leur lieu de résidence.
2 :58 “Et (rappelez-vous) quand Nous avons Dit : “Entrez dans cette ville et mangez de ce qui s’y trouve en abondance, comme vous le voulez, et entrez par la porte avec respect, et parlez humblement, Nous vous Pardonnons vos fautes et Nous Augmentons la part de ceux qui font le bien””.
Ce verset, de toute évidence, est un Commandement concernant le respect des règles et des lois de la ville dans laquelle vous résidez, ce qui vous permet d’y avoir une existence satisfaisante ; entrer par la porte d’une ville avec révérence signifie de se soumettre à la règlementation/aux lois de la ville, se comporter humblement envers ses habitants, être juste et y faire le bien, et leur part sera augmentée.
La punition des voleurs dépend des lois ou de la jurisprudence de l’époque et du pays de résidence. Dans le Qur’an, le mot ne signifie pas amputer, mais seulement couper légèrement en marquant.